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Johnny chez Miss France sur TF1 . |
Postée le 30/11/2007
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Election de « Miss France 2008 » :
Composition du Jury Samedi 8 décembre à
20h50, Jean-Pierre Foucault
présentera en direct du Palais des Congrès « Le
Kursaal » de Dunkerque l'élection
de « Miss Fance 2008 » en présence de
Geneviève de Fontenay et Rachel Legrain-Trapani, « Miss France 2007 ».
Ils seront 7 et
voici les 6 premiers membres du jury de l'élection de « Miss France 2008 » : Patrick Bruel (le Président), accompagné
d'Orlando, Alexandra Rosenfeld, Dominique Farrugia, Carole
Rousseau et Elisa Tovati. Quant au
7ème, c'est encore une surprise mais un petit indice : c'est la présence d'un
rugbyman de l'équipe de France !
Lors d'une soirée exceptionnelle sous
la houlette de Jean-Pierre Foucault et
Geneviève de Fontenay, nous découvrirons
parmi les 36 prétendantes la nouvelle reine de beauté et d'élégance, sacrée
« Miss France 2008 ».
Sur des
chorégraphies, signées Laura Trêves, nos
charmantes miss défileront sous différentes coutures et dans divers « tableaux »
où elles incarneront tour à tour 3 facettes de l'idéal féminin : la princesse de
contes de fée sur le thème du « petit chaperon rose », l'héroïne prenant son
destin en main sur la musique de « Mission Impossible », mais encore, la femme
fatale avec un hommage particulier rendu à Dalida.
Lors de cette soirée
exceptionnelle, Johnny Hallyday toujours
fidèle aux Miss France a tenu à venir
interpréter pour elles son nouveau titre «
always ». Quant à Patrick Bruel,
il présidera le jury dont les suffrages seront équivalents à ceux des
téléspectateurs. Pour pouvoir voter et après avoir découvert les portraits des
miss en région et leurs multiples activités en République Dominicaine, place à
la mise en scène et les chorégraphies des miss sur Dunkerque.
http://www.coulisses-tv.fr/modules.php?name=News&file=article&sid=4278 |
Johnny 108 000 albums vendus |
Postée le 22/11/2007
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Johnny caracole en tête des ventes de disques
Léna Lutaud
Johnny Hallyday réalise son rêve : enregistrer un album de
blues. Crédits photo : AFP |
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Avec 108 000 albums vendus en une semaine malgré la grève, la star a réussi
son pari.
Son album de blues, il y tenait vraiment. C’était un pari risqué même pour
une star qui a attiré un million de fans lors de sa dernière tournée.
Finalement, Johnny Hallyday a eu raison. Une semaine après sa sortie, son
dernier album, Cœur d’un homme, s’est vendu en sortie de caisse à 108 000
exemplaires, ce qui le classe en tête des ventes d’albums devant Jenifer et
Christophe Maé.
C’est un vrai succès populaire alors que l’industrie du disque lui prévoyait
un succès d’estime. Sur le marché des singles, Johnny a écoulé 80 000 unités de
Always. «L’album a atteint un score exceptionnel. Les artistes en tête du top
ces deux derniers mois ont vendu entre 20 000 et 30 000 disques, soit trois à
quatre fois moins que Johnny», insiste Thierry Chassagne, président de Warner
Music France, la nouvelle maison de disques de Johnny.
30 % d’albums en plus
À titre de comparaison, Céline Dion n’a vendu que 28 000 exemplaires de son
dernier album en France. Étienne Daho a démarré à 20 000 avant de chuter en
deuxième semaine à 10 000.
S’il est content, Thierry Chassagne regrette néanmoins l’effet de la grève
sans laquelle il aurait pu vendre 30 % d’albums en plus. «Dès le premier jour de
la grève, nos statistiques démontraient que les gens n’allaient plus dans les
magasins. Quand vous passez la semaine à moins dormir car vous rentrez plus tard
et partez plus tôt pour aller travailler, vous restez chez vous le week-end. Du
coup, samedi, les magasins étaient vides.»
Néanmoins, la Fnac, Virgin et autres Carrefour estiment que c’est l’album de
Johnny qui attirera les clients pour les achats de Noël. Sur les 450 000 albums
facturés aux distributeurs, il en reste 342 000 dans les bacs. Mais Johnny peut
compter sur la fin de la grève, sur le soutien indéfectible de RTL et des huit
émissions dont il sera la star comme «Taratata» et «Sacrée
Soirée». http://www.lefigaro.fr/medias/2007/11/22/04002-20071122ARTFIG00007-johnny-caracole-en-tete-des-ventes-de-disques.php |
Johnny Hallyday : Miss France 2008 |
Postée le 20/11/2007
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Miss France 2008 est.... Réponse sur TF1 le samedi 8
décembre.
Le 8 décembre, après plus de deux heures de direct,
Jean-Pierre Foucault et Geneviève de Fontenay prononceront la phrase fatidique :
"Miss France 2008 est..." La future représentante nationale sera élue parmi
36 reines de beauté et d'élégance.
L'élection de Miss France 2008 se
déroulera en direct du Palais des Congrès " Le Kursaal " de la ville de
Dunkerque, habituel théâtre des grands bals du carnaval.
Lors de cette
soirée exceptionnelle, Johnny Hallyday toujours fidèle aux Miss France a tenu à
venir interpréter pour elles son nouveau titre " allways ". Quant à Patrick
Bruel, il présidera le jury dont les suffrages seront équivalents à ceux des
téléspectateurs.
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Johnny Hallyday N°1 |
Postée le 20/11/2007
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Le nouveau Johnny Hallyday
n°1 des ventes en France !
Très jolie performance pour le
tout dernier opus de Johnny Hallyday "Le Coeur d'un homme" qui se classe
directement n°1 des ventes en France pour sa première semaine d'exploitation.
Pas moins de 107 000 exemplaires écoulés en une semaine. Johnny Hallyday s'est
d'ailleurs vu remettre un double disque de platine lors du prime de la Star
Academy diffusé samedi soir en direct sur TF1.
Cet album "blues"
produit par Yvan Cassar s'est offert quelques grands noms. Parmi eux Pierre
Billon, Francis Cabrel, Bono (le chanteur du groupe U2), Bruno Putzulu, Lionel
Florance...
Johnny devant très largement Céline Dion, Jenifer,
Christophe Mae, et Alicia Keys !
A noter qu"Always le premier single
extrait se classe 3eme du top singles !
http://newsfrance.fr/article.php?sid=1122&mode=&order=0usique |
Johnny à fait son Taratata |
Postée le 19/11/2007
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Johnny a fait son "Taratata"
Des invités prestigieux, des confessions, des surprises et des fans à
bananes dans le public… Jeudi dernier, Johnny Hallyday était l'invité de Nagui
pour un prime evènementiel diffusé le 5 décembre sur France 2. Nous y
étions.
19h. Le plateau de "Taratata", agrandi pour l’occasion – un
prime time sur France 2, ce n’est pas tous les jours- accueille une tribune
supplémentaire par rapport à sa configuration habituelle.
Le public,
venu de toute la France à La Plaine Saint-Denis malgré les grèves, transi de
froid après des heures d’attente, prend doucement place. Mais tout le monde
n’aura pas droit à la chaleur des projecteurs : des dizaines de malchanceux
resteront dehors, pour cause de surbooking.
Dans les gradins, des
gilets de cuir, des chemises western, des santiags: les fans de Johnny sont
tous là, y compris un sosie plus vrai que nature, avec banane blonde, bouc,
lunettes noires et perfecto!
Certains étaient déjà là la veille, pour
l’enregistrement des chansons de Christophe Maë (Un « Gabrielle » très réussi
avec un solo final d’harmonica) et de Laurent Gerra (« Allumer le feu »).
20 heures pétantes : Hurley de Lost, euh pardon Yvan Cassar,
directeur musical, s'installe au piano, suivi de neuf musiciens et trois
choristes. Nagui apparaît : « Vous comme moi, on est conscient qu’on a de la
chance, hein ? » lance-t-il aux téléspectateurs serrés comme des
sardines.
5-4-3-2-1… Ca tourne ! hurle Gérard Pullicino depuis la
régie. Le guitariste entonne « Toute la musique que j’aime ». Entrent tour à
tour les invités de la soirée : Eddy Mitchell, Gérald de Palmas, Isabelle
Boulay, Raphaël, David Hallyday, Linda Lemay, Patrick Fiori et Roberto
Alagna.
L’idole des jeunes, costard noir strict relevé de motifs western
blancs, salue ses amis, puis revient vers un Nagui qui de toute la soirée ne le
lâchera pas, notamment sur son père (geste agacé de la star "je n'ai pas envie
de parler de ça"), l’état de santé de sa fille Laura "elle va mieux, merci", sa
carrière, ses projets "un nouvel album fin 2008 et une tournée en 2009)…
L'animateur a même déniché un spot des années 50 où Johnny, 7 ans, fait la pub
pour des vêtements. "Je crois qu’on m’a jamais autant fait parler que ce soir!»,
adressera-t-il au public lors d’une pause.
Entre deux interviews, place
à la musique. Johnny egrènera en solo trois chansons de son nouvel album, «
Chavirer les foules », « Always » et « Que restera-t-il », et « Sarbacane « en
duo avec Gérald de Palmas (ponctué d’un inoubliable « Allez Gérard ! » en pleine
chanson).
Puis il interprètera trois duos, avec son fils David (« Le
pénitencier »), Eddy Mitchell (« J’ai oublié de vivre ») et Raphaël (« Quelque
chose de Tennesse »).
Les autres invités se chargeront , avec plus ou
moins de réussite, des vieilles chansons du répertoire (Isabelle Boulay avec «
Je te promets », Patrick Fiori «avec « Que je t’aime », Linda Lemay avec un
medley).
Quant au ténor Roberto Alagna, il devra s’y reprendre à trois
fois avant de trouver le bon tempo sur « Requiem pour un fou ». Dans les
coulisses, Laëticia veille. Philippe Labro joue l’invité surprise, suivi plus
tard par Jean Reno et le champion de rallye moto Cyril Neveu.
Il est
00h30 : Paul Personne clôture la soirée. L’enregistrement a pris deux heures de
retard. Rendez-vous le 5 décembre à 20h50 sur France 2.
Virginie Sellier
http://www.tele-2-semaines.fr/contenu_editorial/pages/echos-tv/1066-johnny-a-fait-son-taratata
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Johnny Hallyday en duo avec Roberto Alagna |
Postée le 15/11/2007
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Johnny Hallyday en duo avec
Roberto Alagna
Diffusé au début du mois de décembre, l’émission Taratata donnera l’occasion à Johnny Hallyday
de venir présenter les chansons de son dernier opus Le Cœur d’un
homme mais aussi d’interpréter un duo des plus surprenants. Le chanteur
y poussera en effet la chansonnette aux côtés du célèbre ténor Roberto Alagna. Ce dernier devra sa présence sur le plateau
à une actualité discographique comme scénique très chargée. Sacrifiant à la
tradition américaine, Roberto Alagna mettra en bacs le 26 novembre prochain un
premier album de Noël intitulé Credo - Air sacrés. Compilation
de chants religieux et de grands tubes de fin d’année, le disque comportera un
inédit, le Notre Père, chanté a capella et
composé par Alagna lui-même. Le grand ténor, dont l’agenda est booké
jusqu’en 2010, se produira sur plusieurs scènes françaises, tout au long de
l’année prochaine. En janvier, il interprétera l’Orphée de
Gluck à Montpellier, avant d’investir le Théâtre des Champs Elysées le 30 mai.
Il sera également au Palais des Sports de Paris, les 6 et 10 juin, à l’affiche
du Dernier jour d’un condamné, œuvre de Victor Hugo qu’il a
remaniée avec l’aide de ses frères Frédérico et David.
http://musique.evous.fr/Johnny-Hallyday-duo-Roberto-Alagna,2611.htmlur "Musique
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Pour Johnny, France 2 casse sa tire-lire |
Postée le 15/11/2007
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Taratata
Pour Johnny, France 2 casse sa tire-lire
15/11/2007-00h01 - Emmanuel
Berretta - © Le Point.fr Un spécial Taratata avec Johnny Hallyday en vedette... Très bon
coup pour Nagui et France 2. Mais bonjour l'addition !
Nagui est passé par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel la
semaine dernière. Le producteur-animateur a eu la bonne idée d'organiser un
spécial Taratata , diffusé en prime time, consacré à Johnny Hallyday à
l'occasion de la sortie de son nouvel album, Le coeur des hommes . Un
rendez-vous important pour l'artiste dont le planning comprend dix passes télé
en prime time avant la fin de l'année (dont plusieurs JT, une Star Ac', etc.).
Le contexte est un peu particulier, pour l'artiste. Johnny Hallyday,
désormais âgé de 64 ans, signe ici son premier album original chez Warner. Sa
nouvelle maison de disques compte beaucoup sur lui pour dépasser largement les
400 000 exemplaires vendus (600 000, ce serait considéré comme un énorme
succès). Et puis Johnny a une petite revanche à prendre sur son ancienne maison
de disques, Universal music. Son ancien employeur n'a jamais cru qu'un album de
blues pouvait soulever les foules... Et Universal de répéter à qui veut
l'entendre que le dernier album blues de Johnny avait péniblement atteint les
150 000 exemplaires.
Des musiciens venus de Los Angeles
Bref, notre bon "Johnny national" est chaud comme la braise et se donne
les moyens de relever le gant. Depuis deux mois, le senior des rockeurs s'est
astreint à un régime draconien. Il s'abstient de tout beuvrage alcoolisé. Avec
les équipes de Nagui, il se montre coopératif et - fait exceptionnel - accepte
de se mettre à la disposition de Taratata pour quatre jours de
répétitions avant le tournage (deux jours). Nagui est ravi. Jusqu'ici tout va
bien.
Sauf que Johnny, qui doit interpréter quatre titres inédits durant
l'émission, exige d'être accompagné par ses musiciens de studio. Rien d'autre.
Une requête compréhensible. Le hic : certains d'entre eux vivent aux États-Unis,
sur la côte Ouest ! Leur voyage et leurs frais d'hébergement dans les palaces de
la capitale ont fait exploser le budget de Nagui. Le devis de ce Taratata
exceptionnel, enregistré aujourd'hui 15 novembre, atteint 750 000 euros (au lieu
de 600 000 euros prévus).
France 2 refuse de couvrir la différence.
Coincé, Nagui tente alors de faire payer la note à Warner, la maison de disques
de la star. Elle accepte mais exige, en retour, que Nagui lui cède des parts de
la production. Pour Nagui, c'est niet. Warner propose alors de percevoir un
intéressement sur la publicité encadrant le programme. Même pas en rêve ! Nagui
se voit difficilement relayer cette exigence warnerienne auprès de
Patrick de Carolis, le patron de France Télévisions. L'animateur sait très bien
que France 2 l'enverra sur les roses. Tensions. Blocages. Discussions tous
azimuts.
Qu'est-il advenu ? Naturellement, c'est France 2 qui a fini par
casser sa tirelire... en sucrant un budget destiné à un autre programme. Nagui
peut dire merci à France 2. Vive la redevance ! http://www.lepoint.fr/content/medias/article.html?id=210021 |
Johnny : ma vie en blues |
Postée le 15/11/2007
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Johnny : ma vie en blues
Depuis longtemps, il promettait un disque consacré au blues
de son enfance. Dans «le Coeur d'un homme», le rocker se montre sous un jour
mélancolique. Rencontre
Le Nouvel Observateur. -
Pourquoi cet album de blues ? Johnny Hallyday. - C'est le
disque que j'ai envie de faire depuis des années. Je ne me force pas à chanter
cette musique, elle m'est naturelle, elle est ma base. Chez moi, je me passe en
boucle des disques de blues, de country. Entre autres ceux de Taj Mahal, qui a
eu la gentillesse de répondre à mon invitation et chante sur «T'aimer si mal»,
et des Rolling Stones, un des seuls groupes de rock à faire du blues en dehors
de ses propres chansons. En somme, c'est une musique avec laquelle je vis depuis
l'enfance. J'ai été élevé par un Américain dont la famille vivait en Oklahoma;
ces gens-là m'envoyaient tous les disques de blues, de country et de rock qui
sortaient là-bas. J'ai ainsi été en France l'un des premiers à écouter les
disques de Johnny Cash, par exemple. Ca a influencé toute ma
carrière.
N. O. - Comment cette musique a-t-elle évolué depuis
l'époque où vous l'avez découverte ? J. Hallyday. - La conception
est la même que dans les années 1950, mais le vrai blues reste celui de ces
années-là. Le rock s'est changé en pop, le blues est resté fidèle à lui-même,
seuls les textes ont changé. Ils sont moins au premier degré que par le passé.
En revanche, musicalement, le blues continue à se contenter de trois ou quatre
accords. La difficulté, en France, c'est d'accepter de chanter des paroles
simplistes. Nous sommes d'une culture plus littéraire, alors que le blues doit
coller a la vie quotidienne. Il raconte ce que les gens vivent au quotidien :
l'amitié, l'amour, la mort. Ca a été délicat de trouver le moyen d'exprimer cela
sans être trop terre à terre.
N. O. - Comment avez-vous
rencontré Bono ? J. Hallyday. - Nous nous connaissons de- puis
longtemps, je l'aime beaucoup. Ses albums sont toujours intéressants, toujours
novateurs. Et puis il est profondément généreux. Comme moi, c'est un homme
proche de sa famille, des gens en général. Je suis allé le voir en concert, et
réciproquement. L'été dernier, après avoir dîné ensemble, nous sommes restés à
discuter tard dans la nuit. Au moment de nous quitter, il m'a promis de m'
écrire un blues. Comme on avait pas mal picolé, je pensais que le lendemain il
aurait oublié sa promesse... Trois heures après, je recevais un texto : il
venait de trouver le titre de la chanson. Le blues dont le disque se rapproche
le plus est le blues cajun [pratiqué en Louisiane, son représentant le plus
célèbre est Clifton Chenier. Il est chanté dans un savoureux créole de français
et d'anglais. NDLR]. La seule chanson urbaine est celle de Bono, «I Am the
Blues».
N. O. - Dans les textes que vous avez choisi, en
particulier «Always» et «Que restera-t-il ?», vous parlez beaucoup de la
vieillesse et de la mort... J. Hallyday. - J'essaie de parler des
choses qui me touchent autant qu'elles touchent les autres. J'ai pris un sale
coup quand ma mère est morte, et j'ai perdu beaucoup d'amis ces derniers temps,
d'un cancer, d'un accident... Ils me manquent terriblement. Ce qui me fait peur
dans la mort, ce n'est pas de disparaître, c'est de ne plus voir les gens que
j'aime. Toutes ces pensées ont forcément une incidence sur le choix des textes.
N. O. - Vous reprenez un tube de Francis Cabrel, «Sarbacane».
On dirait que la chanson a été écrite pour vous... J. Hallyday. -
C'est le cas. Francis l'avait écrite pour moi, mais au moment où il me l'a
proposée je venais d'enregistrer un disque. Il a fini par la chanter lui-même.
Je trouve intéressant de reprendre cette chanson, en respectant les choix
artistiques de Cabrel tout en y ajoutant une couleur sudiste avec un trait
d'harmonica notamment. J'adore ce que fait Francis, c'est le seul chanteur de
blues français. Je rêve de reprendre un jour «Je l'aime à mourir».
N.
O. - Fin novembre, on fêtera le dixième anniversaire de la mort de
Barbara. Vous l'avez bien connue... J. Hallyday. - Nous avions le
même imprésario, Charley Marouani. C'est comme ça que j'ai eu la chance de la
connaître, je me suis beaucoup attaché à elle. Elle m'avait demandé de venir
chanter avec elle dans une émission des Carpentier. Nous avions chanté ensemble
«l'Ombre et la lumière». Mais elle était folle, dans le bon sens du terme. Elle
pouvait me demander pourquoi je n'étais pas venu la voir la veille alors que ce
n'était pas prévu du tout. Mais quelle femme formidable ! Depardieu, qui avait
fait avec elle «Lily Passion», était fou d'elle, ce que je comprends, elle avait
un tel charisme ! Elle venait souvent à mes concerts, bien sûr je suis aussi
allé la voir. Ce n'était pas mon style de musique, mais elle me donnait des
frissons. Comme Bref Quel talent ! Pour l'anecdote, un jour nous avons bu un
verre, et par hasard j'ai commandé un verre de cidre. Elle a dû se dire que je
n'aimais que ça, parce qu'après, chaque fois que je faisais un concert à Paris,
elle m'envoyait une caisse de cidre. Mais ça a duré des années ! (Rires.)
C'est ma femme qui le buvait.
Sophie DelasseinLe Nouvel Observateur - 2245 - 15/11/2007 http://artsetspectacles.nouvelobs.com/p2245/a359484.html |
Johnny Hallyday allume le feu à la Star Academy |
Postée le 14/11/2007
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Johnny Hallyday allume le feu à la Star Academy
Johnny Hallyday sera ce samedi à la Star Academy. A 64 ans, le rockeur français
pourra, à n'en pas douter, faire une véritable démonstration de son talent aux
staracadémiciens.
A l'image du film Jean-Philippe, il serait improbable qu'une personne
en France, en Suisse ou en Belgique ne connaisse pas Johnny Hallyday alias
Jean-Philippe Smet. Avec 50 ans de carrière et 60 millions de disques vendus,
Johnny est LA star du rock français, incontournable et
indétrônable. Est-il vraiment besoin de rappeler quelques uns de ses
tubes ? Juste pour le plaisir alors, on pensera aux suivants : Le
Pénitencier, L'idole des jeunes, Retiens la nuit,
La musique que j'aime, requiem pour un fou, Je te promets, Quelques chose de
Tennessee, Vivre pour le meilleur, Diego, Sang pour sang, Marie...Stoppons
là cette liste incroyable. Johnny aime la Star Academy, n'en déplaise à
certains. Et comme presque chaque année, il revient sur le plateau de Nikos
Aliagas pour faire vibrer les élèves, le public et les chaumières. Cette
fois-ci, il présentera son nouvel album, Le cœur d'un homme, qui marque
son retour à la musique qu'il aime, le blues. L'idole des jeunes (et des moins
jeunes) s'est entourée de personnes d'exception avec Yvan Cassar à la
réalisation (qui fait partie du jury de la Star Academy) et Bob Clearmountain,
plus connu pour ses collaborations avec David Bowie, les Rolling Stones et Bruce
Springsteen. Une équipe de rêve au service d'un talent d'exception. Et pour ne
rien gâcher à la fête, Johnny ne viendra pas seul, puisque son fils, David, sera
de la partie, comme pour rappeler que le talent, ils l'ont dans le sang.
Aurore DUBOIS-SEAC'H
http://www.plurielles.fr/femmes/people/actu-people/0,,3622806-VU5WX0lEIDQwMg==,00-johnny-hallyday-allume-feu-star-academy-.html
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Johnny Hallyday fait son « Taratata »
le 5 décembre sur France 2 |
Postée le 13/11/2007
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Johnny Hallyday fait son « Taratata »
le 5 décembre sur France 2
France 2 diffusera un « Taratata » exceptionnel mercredi 5 décembre à 20h50 avec Johnny Hallyday
qui qui interprètera certains titres de son tout nouvel album. Aux côtés de
Nagui tout au long de l’émission, il sera entouré de ses amis pour une
soirée 100 % live avec ses plus grands succès et des duos inédits.
Seront
sur le plateau : Laurent Gerra •
Eddy Mitchell •
Raphaël •
David Hallyday •
Isabelle Boulay •
Gérald De Palmas •
Christophe Maé •
Roberto Alagna •
Patrick Fiori •
Linda Lemay.
Cette émission sera enregistrée les 14 et 15 novembre. http://www.coulisses-tv.fr/modules.php?name=News&file=article&sid=4187 |
Johnny fait mal |
Postée le 12/11/2007
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Johnny fait mal
Johnny Hallyday, 2006. (Reuters) |
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CHANSON : Le «coeur» d'un homme, un album
authentique que l'on attendait plus.
SERGE LOUPIEN
Johnny Hallyday a ceci d’admirable que plus il vieillit,
moins il laisse indifférent. Depuis son apparition, il y a presque un
demi-siècle, sur les petits écrans (noir et blanc) de l’ORTF – cran Pento,
chemise en dentelle Emmanuelle et sourire teenager – tour à tour il émerveille,
attendrit, enthousiasme parfois, agace souvent. Ces derniers temps d’ailleurs,
il s’est surpassé dans le domaine de l’exaspération des foules en multipliant
les initiatives burlesques (rupture suivie de procès avec son producteur
Universal, tentatives multiples de changement de nationalité, menace d’exil
défiscalisé, sarkozysme exacerbé…) Seule la publicité tapageuse pour une marque
de bésicles ordinaire peut trouver grâce à nos yeux quand on sait qu’il continue
ainsi de régler ses comptes avec le chanteur Antoine («la poubelle
flottante», comme il le surnomma jadis), le seul rival – avec Adamo – qui
faillit un jour décaniller le «Roi Johnny», et qui fait aujourd’hui le
pitre exotique pour un oculiste concurrent. Et puis, au moment où l’on s’apprête à clore le dossier, convaincu que le
sujet est décidément irrécupérable, le voilà qui sort le disque qu’on
n’attendait plus, à force de l’avoir attendu si longtemps. C’était déjà un peu
le cas en 1983, quand il bricola, à Nashville, Entre violence et violon,
sous la houlette de Pierre Billon (juste avant que celui-ci ne fût banni de la
galaxie «hallydayesque» par une Nathalie Baye convaincante dans le rôle de la
gendarmette de Saint-Tropez), ou en 1991, lorsque le regretté Etienne Roda-Gil
lui concocta un mémorable Cadillac. Albums perfectibles, certes, mais
dénotant chacun singulièrement sur sa production hagarde du moment.
Dobro.Enregistré, sous la direction d’Yvan Cassar, aux studios Ocean
de Burbank, dans la banlieue de Los Angeles, mixé par Bob Clearmountain
(collaborateur de David Bowie, des Rolling Stones et de Bruce Springsteen),
le Cœur d’un homme se situe quelque part entre ces deux projets. Son
«roots» (à base de dobro, steel-guitar et harmonica) presque minimaliste, des
invités à la valeur commerciale contestable mais aux vertus d’instrumentiste
confirmées (Keb’Mo’, Taj Mahal, Claude Engel, Abraham Laboriel, Robin
Lemesurier, Doyle Bramhall II, Tony Joe White…): c’est l’authenticité de
l’ensemble qui séduit dès la première écoute. Authenticité justifiant l’adhésion
immédiate de l’interprète, enchanté de toute évidence de se retrouver en terrain
connu. Car la voici, la fameuse «musique [qu’il] aime», entre blues,
ballade larmoyante et country rock, à mille lieues de la sempiternelle variété
qu’on l’oblige (par sa faute sans doute) trop souvent à dégurgiter. La preuve,
il se fond instantanément en elle, jusqu’à s’abstenir de vociférer comme il n’a
de cesse de le faire ces dernières années, privilégiant la seule «performance»
vocale parce que la pauvreté du répertoire choisi l’y contraint.
Bourdon.Conséquence, on redécouvre dans le Cœur d’un homme un
chanteur capable de nuances, de sensibilité, et qui surtout n’a pas son pareil,
quand il le veut, pour filer le bourdon à l’auditeur. Le chanteur
d’Excuse-moi partenaire ou de Quitte-moi doucement en somme,
témoignages inoubliables de cette époque dorée où ses albums, cadrés par
l’omniprésence de Joey (Greco) and the Showmen, présentaient une certaine
cohésion. Dont celui-ci tend à approcher, timidement, et plutôt au niveau de sa
thématique tant de fois rebattue (qui suis-je ? d’où viens-je ? où vais-je ?)
que sur le plan strictement musical (pourquoi, par exemple, n’avoir pas
définitivement «bleui» le propos blues au lieu de tourner ainsi autour du pot
?), du fait de la quantité et de la diversité des intervenants.
De Bernie Taupin (Ce que j’ai fait de ma vie) à Bono (I’m the
Blues), de Bruno Putzulu, mieux connu comme comédien ou footballeur amateur
que comme «songwriter» (Ma Vie) à Marc Lévy, romancier à succès
(T’aimer si mal), du très «bashunguien» Jean Fauque (Je reviendrai
dans tes bras) au revenant Michel Mallory (Chavirer les foules). Et
qu’importe si ce dernier livre ici une démarque assez lisible de son
illustrissime Toute la musique que j’aime. Après tout, nombre de hardis
pionniers, à commencer par Chuck Berry et Bo Diddley, n’ont jamais cessé de
s’autociter.
Reste la surprise du chef : une reprise honorable du Sarbacane de
Francis Cabrel. Laquelle ne peut qu’aviver nos regrets quant au fait que
l’ermite d’Astaffort et l’idole des (plus très) jeunes ne soient jamais parvenus
à trouver le temps de collaborer. Ce n’est pas faute d’avoir essayé, pourtant. A
l’époque du tournage du feuilleton télévisé eastwoodien David Lansky
d’Hervé Palud, en 1989, Johnny, déjà, avouait son souhait de travailler avec
l’auteur de Petite Marie. Mais, dira alors celui-ci : «Je suis du
genre lent. J’ai suffisamment de mal à fabriquer mes propres disques, je
ne vois pas quand je pourrais trouver le temps et l’énergie d’écrire et de
composer pour quelqu’un d’autre. Même si ce quelqu’un s’appelle Johnny
Hallyday.»
La présence pour le moins inattendue de Sarbacane sur ce nouveau
disque signifie donc possiblement que le projet risque d’être réactivé. Et que,
par conséquent, il convient de se faire à l’idée que Johnny n’a pas encore tout
à fait fini de nous étonner.
http://www.liberation.fr/culture/musique/290648.FR.php
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Article : Le monde.fr |
Postée le 12/11/2007
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Johnny Hallyday sort son "album de blues", devenu un enjeu inattendu pour sa
carrière
Johnny Hallyday à Paris, le 15 octobre 2007.
GAMMA/PIERRE
HOUNSFIELD/EYEDEA PRESSE |
|
A
un moment envisagé comme une parenthèse dans sa carrière, "l'album de
blues de Johnny" est finalement devenu pour ce dernier un disque à fort enjeu
musical, économique et symbolique. Sorti le 12 novembre, Le Coeur d'un
homme a ainsi bénéficié d'une mise en place de 410 000 pré-commandes. Déjà
un signe de succès en pleine crise de l'industrie phonographique et sans doute
un soulagement pour Johnny Hallyday dont l'image, ces derniers mois, a souvent
été polluée par les affaires juridiques, les polémiques politiques et fiscales.
Le chanteur reçoit
dans une suite du Fouquet's Barrière, à Paris, à quelques dizaines de mètres du
restaurant des Champs-Elysées où il a fêté, le 6 mai, l'élection à la présidence
de la République de Nicolas Sarkozy. A 64 ans, le chanteur commence avec Le
Coeur d'un homme sa carrière "studio" (après la publication, en 2006, d'un
album enregistré en public, Flashback) dans sa nouvelle maison de
disques, Warner, avec laquelle il a signé après sa rupture avec Universal.
Depuis longtemps, Hallyday présente ce "disque de blues" comme élément
déterminant de son divorce avec son ancien producteur. "Universal n'y croyait
pas, répète-t-il aujourd'hui, ce n'était pas assez tendance. Je
voulais faire un disque proche de mes racines, eux ne pensaient qu'au
rendement." Il s'emporte contre la maison de disques dont les trois
dernières productions avec lui ont été les trois meilleures ventes d'albums de
la carrière du chanteur (de 1 à 2 millions d'exemplaires vendus à chaque fois).
A l'époque où Hallyday propose à Universal d'enregistrer un "album de blues", le
chanteur a déjà attaqué en justice sa maison de disques pour récupérer la
propriété de ses anciens titres (procès qu'il perdra définitivement en juin
2007).
Le contact est alors rompu avec Pascal Nègre, patron d'Universal, jusqu'alors
son interlocuteur direct. Ce contexte tendu ne facilitera pas son projet.
D'après des sources proches de M. Nègre : "Johnny voulait travailler sur des
chansons qu'avait composées son guitariste américain. Comme les morceaux étaient
jugés de mauvaise qualité, on lui a dit non."
Qu'il ait eu ou non un rôle dans la séparation avec Universal, l'"album de
blues", une fois prévu chez Warner, devenait un défi pour l'orgueil de l'artiste
et son nouveau label. Directeur artistique chez Warner, Jef Cahours s'est attelé
à cette tâche pendant un an et demi. C'est à lui entre autres qu'incombait le
rôle de rassembler un répertoire et de travailler la couleur de la réalisation
artistique.
DOBROS ET MACHINERIES
"Johnny disait vouloir un vrai disque de blues, un disque du Sud
profond, explique Cahours, en même temps, il précisait "un disque
pas chiant", avec un potentiel commercial. Trop classiquement blues, ça aurait
été ennuyeux, trop variété ce n'était plus l'esprit." Aux adaptations de
standards, l'équipe Warner préfère finalement quelques nouveaux noms -
Marie-Laure Douce, Christian Lejalé, l'ami acteur Bruno Putzulu - et d'autres
qui avaient déjà fait leur preuve au temps d'Universal - Fred Blondin, Jacques
Veneruso, l'historique Michel Mallory ou l'arrangeur-compositeur Yvan
Cassar.
"L'important était surtout de mettre à nu sa voix, en ayant plus recours
aux instruments acoustiques", revendique Cahours. "J'ai souvent été pris
dans l'engrenage du toujours plus, constate le chanteur, là les
chansons ne réclamaient pas des cavalcades de violons et de cuivres." Au
côté des dobros et de l'harmonica, on trouve aussi quelques grosses machineries
comme le single Always ou un final, I Am the Blues, écrit
par Bono, le leader de U2.
"Bono, que je connaissais, était venu me voir à Monaco lors d'un concert
de la dernière tournée", rappelle Hallyday dans chacun des entretiens.
Nous avions pas mal picolé. Il avait promis de m'écrire une chanson.
" "Nous avons reçu le titre peu de temps avant de partir
enregistrer à Los Angeles, précise Jef Cahours. Cela ne cadrait pas
vraiment avec l'esprit du disque, mais comment refuser un titre de Bono
?"
Chantée en anglais, I Am the Blues serait responsable de l'intérêt de
plusieurs pays non francophones (dont les Etats-Unis) pour la sortie de l'album.
En attendant, en France, pour Warner l'équilibre financier serait atteint avec
500 000 ventes.
Le chanteur, lui, est heureux de pouvoir reparler de musique, et non de ses
préoccupations fiscales, de son exil en Suisse et de sa demande éphémère de la
nationalité belge. La campagne de lancement de l'"album de blues" fait-elle
office de ravalement d'image ? "Ce débat n'intéresse que les
journalistes, affirme le chanteur, mon public s'en fout."
"Dans ce contexte, admet Thierry Chassagne, le patron de Warner, on
s'est dit que si on revenait avec un disque moyen, cela risquait de nous faire
mal. Nous sommes rassurés, tous les indicateurs sont au vert." La maison de
disques espère que cette quête de crédibilité musicale profitera au prochain
album - plus classiquement chanson - déjà en chantier, avant une tournée des
stades prévue pour 2009. Stéphane Davet
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-977307@51-977401,0.html
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Hallyday tendance blues |
Postée le 12/11/2007
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Hallyday, tendance blues Par Carlos GOMEZ Le
Journal du Dimanche
Johnny en a rêvé,
Warner l'a fait. Il le tient son "album de blues". Celui qu'Universal lui avait
maintes fois refusé, donnant au chanteur une raison supplémentaire de changer de
maison de disques voici presque deux années. Le disque s'intitule Le coeur
d'un homme et bat au rythme des treize chansons qui l'illustrent.
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Le contrat est respecté pour la quasi-totalité d'entre elles, qui mettent en
valeur la voix de l'artiste, parfois à peine accompagné d'un harmonica famélique
et d'une guitare percée, aux accents métalliques (Laquelle de toi). C'est
ce Hallyday-là qu'on avait envie d'entendre enfin, qui, débarrassé de ses strass
et de son carcan "artiste de variétés", rayonne dès les premières notes de
Monument Valley. Et fait oublier l'autre Johnny, le personnage public,
ami des puissants, tantôt belge, tantôt suisse, objet de quolibets.
Il
l'a suffisamment dit pour qu'on le croie: Johnny avait besoin de retrouver son
identité perdue d'enfant du rock grandi en écoutant Presley et Johnny Cash.
Besoin d'aller "à fond" dans sa réinvention de l'Amérique idéale des
routes poussiéreuses et sans fin. Le blues donc. Toute la musique qu'il aime
continue à venir de "là". Le public l'a intimement senti, qui plébiscite depuis
trente ans sur scène la chanson emblème de Michel Mallory. Un Mallory convoqué
naturellement ici pour oeuvrer de nouveau. Il n'a pas déçu. Il a peut-être même
écrit un des meilleurs titres. Chavirer les foules: "Une idée forte
sur un bon thème/ Qui sonne bien, qui sonne actuel/ Un truc qui parle de nos
problèmes/ De nos amours et de nos peines/ En un langage
universel."
"C'est une chanson en forme de clin d'oeil,
puisqu'elle est construite sur la même structure que Toute la musique.
C'est un peu sa petite cousine!" La principale difficulté de l'élaboration
de ce disque a été de "trouver des textes en français qui se fondraient dans
le côté très dépouillé du blues", explique le chanteur. "Il fallait des
mots simples, mais attention, pas simplistes ; et cette simplicité-là, c'est
toujours le plus difficile à atteindre. A moins de s'appeler Godard, bien
sûr, plaisante Johnny. Le truc de Jean-Luc, c'est plutôt de dire:
'Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?' Avec le blues, ça marche
moins bien, c'est sûr.""Faire accessible sans faire dans le commercial"
Pour
autant, il sait bien, Johnny, qu'il ne grugera pas les puristes. Ce n'était pas
son intention non plus. "J'ai fait un disque 'tendance' blues, il n'y a pas
de tradition en France pour apprécier un blues pur et dur. Pas de public non
plus. Il ne s'agissait pas d'effrayer les gens avec un album pour spécialistes.
Mais de faire accessible sans faire dans le commercial." Pourtant, lesdits
"spécialistes" pourront difficilement y trouver à redire. En écoutant T'aimer
si mal, par exemple. Hallyday est aussi sûrement un chanteur de blues
qu'Edith Piaf l'était. Leur capacité à émouvoir et à exalter par la seule force
de la voix transcende les genres et les styles. Ecoutez-le par exemple sur les
toutes premières notes de Que restera-t-il?: "Parfois je veux la vie
d'un autre/ Parfois je rêve d'une autre vie/ Que restera-t-il/ De ma course
autour du soleil/ Que restera-t-il ?"
Un frisson parcourt les
enceintes. Si le blues est émotion, alors cet homme-là a le "sang bleu", c'est
clair. Même sensation en écoutant sa version délibérément "roots" du
Sarbacane de Francis Cabrel. La chanson est bonne en soi, mais Hallyday
la rend meilleure encore. Il vit dedans, se l'approprie, la froisse, la façonne.
Ce n'est plus de la musique de variété qu'on entend là. Mais de la musique de
vérité. "En France, on continue d'accorder plus d'importance au texte qu'à la
musique, estime Johnny. Avec Yvan Cassar aux manettes, on a traité
paroles et musique à égalité. C'est un album dans lequel j'ai laissé à chaque
musicien la place de s'exprimer."
De manière surprenante, il dit
avoir connu quelques moments de "mini-découragement" durant
l'enregistrement. "A cause de trucs bêtes. Un phrasé, va savoir pourquoi, que
je ne domine pas, sur lequel je passe trois heures, mais que je règle le
lendemain en trois minutes..."
"Mais j'ai fait quoi de ma vie ?/
Oui j'ai fait quoi de ma vie ?/ A quoi m'a-t-elle servi/ Eh, à quoi j'aurai
servi?" S'il se pose légitimement la question au détour d'un titre, on est
en mesure d'apporter une réponse. Johnny Hallyday a fait de sa vie un spectacle
permanent, parfois malgré lui. Tant que le spectacle est de cette qualité-là, ce
sera toujours plein aux premiers rangs. http://www.lejdd.fr/cmc/culture/200745/hallyday-tendance-blues-_70830.html |
Johnny Hallyday dévoile son nouvel album sur RTL |
Postée le 09/11/2007
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Johnny Hallyday dévoile son nouvel album sur RTL
Avec "Le coeur d'un homme", Johnny Hallyday revient au blues(DR) |
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Le lundi 12 novembre sortira "Le
cœur d'un homme", le nouvel album de Johnny Hallyday. Le chanteur signe un album
aux tonalités "blues". Sur RTL, il explique s'être perdu dans la variété ces
dernières années. Anthony Martin a rencontré le chanteur aux Etats-Unis qui lui
dévoile en avant-première les chansons de ce nouvel album.
"J'étais enfermé dans la variété"
Après avoir récemment fait la Une de l'actualité
sur le choix de sa nationalité, Johnny Hallyday revient avec de la musique dès
lundi avec la sortie d'un nouvel album : "Le cœur d'un homme". Et si Johnny a
choisi de rester français, il a aussi choisi sa religion : le blues ! Avec ce
nouveau disque, Johnny Hallyday s'éloigne de la variété : "J'ai été un peu
enfermé dans un univers musical qui était quand même trop variétés par rapport à
la musique que j'aime. C'est bien gentil de faire des albums pour que ça marche,
que la maison de disques en vende. Mais quand on s'enferme dans un style de
musique dit de variétés, on perd un peu de son âme" a révélé le chanteur au
micro RTL d'Anthony Martin. Un album mélancolique
Johnny Hallyday revient à la musique qu'il aime
avec un album où les guitares prennent le dessus. Avec ce disque, Johnny
Hallyday livre un album mélancolique : à 64 ans, il chante la solitude et fait
le bilan de sa vie quand il chante "J'ai fait le tour je crois ce qu'on pouvait
attendre de moi". Johnny se dit fier de la vie qu'il a mené : "Je n'ai jamais
fait de mal à quelqu'un, je n'ai jamais trahi quelqu'un" raconte celui qui avoue
être obsédé par la mort. "Que restera-t-il de moi?" se demande le chanteur dans
un de ses nouveaux titres. "Je me dis qu'un jour je vais disparaître et je
n'aurais pas encore tout fait. C'est ce qui me ronge un peu. Personne ne peut
éviter ça" raconte Johnny à Anthony Martin.
Sincère, c'est aussi le ton musical donné à ce disque qui gomme les artifices
et met en avant la voix du chanteur : "On a employé des vieux micros des années
1950. C'est très difficile à trouver. C'est avec ces micros que Sinatra
enregistrait ou que Presley a débuté. Je voulais absolument avoir ces micros. Je
voulais avoir une voix brut comme elle sonne quand on chante sans micro, une
voix avec très peu d'effets" explique Johnny Hallyday.
Sur ce disque, Johnny a été accompagné par pas moins de dix
auteurs-compositeurs dont le chanteur Bono, leader du groupe U2, qui lui a écrit
une chanson en anglais, "I am the blues". Parmi les autres surprises, une
reprise de "Sarbacane" de Francis Cabrel qu'il dédicace à sa fille Jade. Avec ce
disque, Johnny Hallyday se montre attachant et signe un de ses meilleurs
albums.
Julien Mielcarek
Ecouter
laissez vous tenter :
cliquez
ici !
http://www.rtl.fr/info/article.asp?dicid=578213
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Johnny Hallyday à nouveau papa ? |
Postée le 09/11/2007
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Johnny Hallyday à nouveau papa ?
Par www.actualite-de-stars.com Actualité de star Johnny Hallyday et
Laetitia, sa femme, auraient entamé une nouvelle procédure d’adoption. Le couple
souhaiterait que Jade, leur fille adoptive originaire du Viêt-Nam, puisse avoir
un petit frère ou une petite sœur.
Dans un entretien rapporté par le magazine « Télé Loisirs », Johnny Hallyday
déclare que « La procédure d’adoption est en cours, mais ce n’est pas parce que
vous avez adopté une première fois que c’est plus rapide la seconde »… « On
repart de zéro. Mais Jade réclame un petit frère », précise-t-il.
Laetitia Hallyday semble ravie de cette nouvelle adoption. « On a tellement
d’amour dans nos cœurs que ce sera magnifique d’avoir un petit garçon »,
a-t-elle déclaré.
Selon les dernières informations, le prochain enfant adopté par les Hallyday
viendra aussi du Viêt-Nam, mais la procédure devrait durer plus longtemps que la
première adoption, jusqu’à deux ans. http://fr.news.yahoo.com/actudestars/20071109/ten-johnny-hallyday-nouveau-papa-bc0f742_1.html |
Johnny Hallyday, retour aux sources |
Postée le 08/11/2007
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Johnny Hallyday, retour aux sources Par Sébastien LE FOL et Valérie LEJEUNE
«Le blues, c’est la musique des gens qui ont vécu», clame Johnny
Hallyday (© Cardon/Reporters-REA). Crédits photo :
Cardon/Reporters-REA |
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Alors qu’il a décidé de rester français, le chanteur renoue avec ses racines
musicales. Son nouvel album, «Le Coeur d’un homme», qui sortira chez Warner le
12 novembre, bat au rythme du blues. Pourtant, l’entretien qu’il nous a accordé
n’a rien de nostalgique.
Un vieux jean usé, un blouson noir, au cou un crucifix où Jésus joue les
rockers... Johnny Hallyday nous reçoit dans une suite du Fouquet’s Barrière, sur
les Champs-Elysées. Il est à l’image de son nouvel album, enregistré à Los
Angeles : serein, apaisé, réconcilié avec lui-même. Résolument «bluesy», ses
nouvelles chansons, signées entre autres de Marc Levy, Bono ou Bruno Putzulu,
parleront au coeur des ex-fans des sixties comme à celui des plus jeunes.
Le Figaro Magazine - Après avoir passé l’essentiel de votre carrière
dans la même maison de disques, vous offrez «Le Coeur d’un homme» à la Warner.
Vous sentez-vous comme si vous aviez divorcé ? Johnny Hallyday -
Non, c’est d’abord un choix musical. Lorsque j’ai parlé d’un disque de blues à
mon ancienne «major» (Universal, ndlr), ils m’ont opposé un non catégorique en
ne tenant pas compte du fait que, si j’en suis là aujourd’hui, c’est aussi grâce
à la musique de mes débuts. Ils m’ont dit : «Clapton ne vend plus rien, le
blues, ça ne marche plus.» Ils n’ont même pas essayé de savoir de quel genre de
blues je parlais. Ils ne trouvaient pas ça commercial. Moi, j’avais besoin de ce
retour aux sources. Ça a duré quatre ans cette histoire, et puis j’ai eu affaire
aux gens de Warner qui, eux, ne me parlaient que de musique, et pas d’argent.
C’est ce qui m’a plu chez eux.
Quelle est votre définition du blues ? Le blues, c’est
la musique des gens qui ont vécu. Ce sont des paroles de tous les jours, pas des
poèmes. Le blues, c’est : j’ai souffert et je voudrais ne plus souffrir.
Si un martien vous demandait ce qu’est le blues, que lui
conseilleriez-vous d’écouter ? BB King, bien sûr. Ce n’est pas ce
que je fais, mais c’est l’évidence du blues.
Vous parliez de retour aux sources. Aviez-vous le sentiment de vous
être éloigné de vos racines ? Un peu. Je ne renie pas ce que j’ai
fait, j’ai chanté de merveilleuses chansons comme Marie, ou fait des albums que
j’adore, comme celui avec Michel Berger, mais il y a aussi des albums que l’on
m’a suggérés (je n’aime pas le mot «forcés») d’enregistrer, des choses plus
commerciales dont je n’avais plus très envie.
Comment se fait-il qu’un artiste de votre calibre ne puisse pas
décider de tout ? Si vous avez envie de manger des carottes, comment se fait-il
qu’on vous dise : «Non, vous aurez des épinards !» C’est plus
compliqué que ça. Une maison de disques ne veut pas payer pour un album auquel
elle ne croit pas. Alors que généralement, c’est moi qui paie mon
déjeuner...
«Le Coeur d’un homme» correspond-il à ce que vous désiriez ?
Oui. J’ai réalisé l’album dont je rêvais depuis longtemps, un album de blues
à la portée du pays dans lequel je suis né, où j’ai grandi, où j’ai vécu.
C’était difficile, car il fallait adapter la culture américaine à la culture
française. Je ne voulais pas reprendre de standards. Parce que les standards que
l’on connaît, ils vont bien avec les mots très simples de la langue américaine.
En gros, ça dit : «Oh, baby, tu t’en vas, reviens-moi.» Au bout de trois
refrains, on voit bien que c’est intraduisible, inadaptable au français. Il
fallait donc trouver des textes qui tiennent le coup ici. Alors j’ai travaillé
avec des auteurs, des gens comme Lionel Florence, Marc Levy, Didier Golemanas ou
Bruno Putzulu. Ce sont des gens qui, comme moi, aiment cette musique et peuvent
écrire des paroles simples mais françaises.
Vous avez même eu une chanson de Bono ! Il est venu me
voir en concert, à Monaco. Quand il a su ce que je préparais, il m’a dit qu’il
voulait me donner une chanson. On a picolé jusqu’à cinq heures du matin et, à la
fin, il m’a annoncé : «J’ai trouvé le titre : I Am the Blues. Je te l’écris.»
Moi, vu l’heure, je me suis dit : demain il aura oublié... Trois jours après, il
m’a appelé et puis il me l’a envoyée et je l’ai enregistrée à Los Angeles.
Justement, on se posait la question : pourquoi va-t-il enregistrer à
Los Angeles ? Il n’y a donc pas ce qu’il faut chez nous ? Mais si,
mais les musiciens que j’avais envie d’avoir, Taj Mahal par exemple, sont tous
américains. Et pour moi, ce genre de musique, c’est là-bas qu’il faut
l’enregistrer. C’est pas de la variété... C’est marrant, parce que ce n’est pas
le genre de questions qu’on pose à Eddy Mitchell, qui lui aussi enregistre
là-bas. C’est toujours à moi qu’on demande ça...
On parle beaucoup du disque qui va mal, du péril que représente le
téléchargement illégal... Vous sentez-vous, dans ce contexte, tenu de faire un
succès ? Par rapport à la maison de disques qui me soutient, oui.
Mais que le marché soit bon ou non, on ne peut jamais savoir ce qui va se
passer. Quand au piratage, c’est surtout à craindre pour les tubes du moment.
Les artistes comme moi, Eddy ou d’autres, vendent des albums. Leur public a
envie d’avoir la pochette, les trucs à l’intérieur, un objet. C’est d’ailleurs
pour ça que, parallèlement au CD, ils me font toujours la version vinyle. J’y
tiens, parce que je sais que beaucoup de gens les collectionnent et ont, pour
les écouter, gardé leur vieux tourne-disque.
Pensez-vous assister à la disparition du CD ? Je ne sais
pas. Aujourd’hui, je travaille. Demain on verra. Mais je ne me vois pas sortir
un album sur internet ou me faire sponsoriser. Quand je vois Paul McCartney
vendre son album dans les Starbucks Coffee, je me dis qu’il y a un gros
problème. Moi, j’ai pas envie d’être mélangé à un café ou à du saucisson !
Parlons un peu de l’album. Vous y abordez des sujets graves. La mort,
par exemple. Dans «Vous Madame», vous la présentez comme une femme dont vous
voulez retarder la visite... Vous savez, la mort, j’y pense tous
les jours. J’ai perdu tellement d’amis chers. J’ai enterré ma mère il n’y a pas
très longtemps, c’est la chose qui m’a fait le plus souffrir. La mort, on
s’arrange avec. Il faut vivre en faisant ce qu’on aime et en s’amusant. Le seul
antidote, c’est d’aimer vraiment ceux qui sont autour de vous. Et de penser un
peu plus aux autres qu’à soi-même. L’amour est plus fort que la mort.
Si vous pouviez choisir, voudriez-vous mourir sur scène ?
Non. Je préférerais mourir au soleil. C’est plus sympa, quand même. Sur une
île, mon île au soleil...
L’une des chansons s’appelle : «Etre un homme». Pour vous, qu’est-ce
qu’un homme ? Un homme, c’est quelqu’un qui tient sa parole. J’ai
vu un film il y a quelques jours qui s’appelle Le Deuxième Souffle (d’Alain
Corneau, ndlr). C’est un remake du film de Melville, d’après le roman de
Giovanni. Ça se passe dans les années 60. A cette époque, une parole d’homme
était une parole d’homme. Et le mec va jusqu’à mourir pour qu’on découvre qu’il
n’avait pas trahi, qu’il n’avait pas balancé.
Dans «Ma vie», vous chantez «Je serai seul à tout jamais». Cette
perspective vous effraie-t-elle ? Je déteste être seul. Mais vous
savez, même lorsqu’il est entouré, même s’il est heureux, l’homme est seul de
temps en temps.
La famille est-elle un rempart ? Disons qu’elle est une
chance. Une chance qui n’est pas donnée à tout le monde. Moi, j’ai cherché
pendant quarante ans la femme qu’il me fallait. Maintenant, je l’ai trouvée, je
ne suis pas près de la laisser partir. Comme elle est plus jeune que moi, elle
m’a permis de rester plus jeune dans ma tête ; plus jeune que, par exemple, Mick
Jagger ou Keith Richards. Elle m’a fait prendre conscience que je n’étais pas un
survivant, qu’on était ensemble, qu’on avait une petite fille de 3 ans et que
c’était le plus important.
Vous sentez-vous plus père que grand-père ? Oui. J’ai
une fille plus jeune que mes petites-filles... Elles, qui ont déjà un papa,
elles m’appellent gran’pa, à l’américaine. Ça ne veut pas dire grand-père mais
«grand» papa. C’est différent.
Dans «Ce que j’ai fait de ma vie», vous chantez : «Je laisse la
place, la place pour d’autres à venir»... Est-ce une manière d’annoncer votre
dernier album ou votre dernière tournée (prévue en 2009) ? Mon
dernier album, non. Le reste, je ne sais pas encore, on verra. Quand je
considérerai que l’envie me manque, j’arrêterai peut-être, mais pas aujourd’hui,
la date de ma dernière scène n’est pas encore fixée. Ça peut être demain comme
dans cinq ans.
Ces «autres à venir», qu’en pensez-vous ? Quelle est votre opinion
sur la chanson française actuelle ? Je n’aime pas trop parler des
artistes qui font de la musique ni en dire du mal. Ils ne seraient pas là s’ils
ne plaisaient pas au public. Mais la musique qu’on fait aujourd’hui ne me plaît
pas. Ce n’est pas MA musique. Elle ne me fait pas vibrer. Je trouve que tout le
monde finit par chanter la même chose et de la même façon. Si les choses ne
durent pas longtemps, c’est peut-être aussi à cause de ça...
La chanson a changé... Trouvez-vous que la France change aussi
? Je l’espère. Très honnêtement. Nous avons fait le bon choix.
Sarkozy, que je connais tout de même assez bien, son désir, c’est ça, son
combat, c’est ça. Mais ce n’est jamais facile de tout changer dans un pays...
C’est comme dans la musique, on a toujours des bâtons dans les roues, il faut se
battre pour faire les choses qu’on aime, pour faire des choses qui soient bien.
Maintenant, c’est son travail, ce n’est pas le mien...
Le vôtre étant de chanter, et connaissant ses soucis familiaux,
quelle chanson lui conseilleriez-vous pour se remonter le moral ?
Du blues ? Je lui conseillerais... Je reviendrai dans tes bras, peut-être...
Ou alors, vous savez quoi : «Non, rien de rien, non, je ne regrette rien...»
Juste une dernière question : vous venez d’annoncer que vous
renonciez à demander la nationalité belge. Où habitez-vous maintenant ? On y
perd son latin... A Marnes-la-Coquette. Vous savez pourquoi ? Je
vais vous raconter l’histoire... Quand j’avais 14 ans, ma tante, qui connaissait
un petit peu Maurice Chevalier, m’a conduit chez lui à Marnes-la-Coquette. Il
m’a reçu très gentiment. Je suis venu avec ma guitare, j’ai chanté trois
chansons, et il m’a dit : «Ecoute, mon petit, on va déjeuner.» A table, on a eu
des spaghettis avec du roquefort râpé dessus. Quand on a eu fini, voilà le
majordome (qui était aussi le cuisinier et le pianiste) qui lui demande :
«Prendrez-vous du fromage ?» et Chevalier, qui était très radin, de répondre :
«Vous n’êtes pas fou, on en a déjà eu avec les pâtes !» Après, il m’a emmené
dans le jardin et il m’a dit : «Mon petit, si tu veux chanter, trouve toujours
une entrée, trouve toujours une sortie et au milieu, eh bien, tu te démerdes :
tu chantes.» C’est pour ça que j’ai toujours, pour mes spectacles, cherché une
entrée spectaculaire et pour ça aussi que j’habite ici, à deux maisons de la
sienne !
Johnny Hallyday, Le Coeur d’un homme,
Warner.
http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2007/11/08/01006-20071108ARTFIG00180-johnny-hallyday-retour-aux-sources.php
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Chabal et Johnny chez Denisot |
Postée le 08/11/2007
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Chabal et Johnny chez Denisot
Denisot fait fort. Lundi 12, son «Grand journal» accueillera, en première
partie, le rugbyman Sébastien Chabal, puis, à partir de 20 h 10, Johnny
Hallyday. Le talk-show de Canal+ pourrait profiter de cette affiche
exceptionnelle pour battre sa meilleure audience depuis la rentrée, établie
lundi dernier en première partie d'émission avec 1,5 million de téléspectateurs.
À noter également, ce soir, la présence du groupe Gossip et sa chanteuse, Beth
Ditto, très en vue actuellement, pour la séquence live.
http://www.tvmag.com/article/Divertissement/34306/Chabal_et_Johnny_chez_Denisot.html
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Johnny Hallyday à
l'honneur sur RTL |
Postée le 08/11/2007
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Johnny Hallyday à
l'honneur sur RTL
Le 12 novembre sortira dans les bacs le nouvel album de Johnny Hallyday
« Le cœur d’un homme ». A cette occasion, RTL,
partenaire historique du chanteur, met en place une programmation
exceptionnelle.
Ainsi, demain vendredi 9 novembre, dans
l'émission "Laissez-vous tenter" présentée par Christophe Hondelatte entre 9h et
9h30, Anthony Martin proposera une rencontre avec Johnny
Hallyday chez lui, à Los Angeles. Pendant une demi-heure, les auditeurs
pourront découvrir cette rencontre privilégiée. Le chanteur se confie au micro
du spécialiste musique de RTL. Il présente ses nouvelles chansons et raconte les
coulisses de l’enregistrement de l’album et sa rencontre avec Bono. Dans cette
interview confidences, ponctuée de la diffusion en exclusivité des premiers
extraits de l’album, le chanteur parle également de ses enfants, du temps qui
passe, de la mort…
Toujours demain mais aussi le lundi 12 novembre,
RTL proposera deux journées « album première ». Tout au long de
ces deux journées spéciales, les auditeurs pouront découvrir en avant-première
les titres de ce nouvel album, commenté par Johnny lui-même. http://www.lezappingdupaf.com/article-13643696.html
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Johnny Hallyday : Le cœur d'un
homme |
Postée le 05/11/2007
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Crédit Photo : WARNER MUSIC |
Johnny Hallyday vient de sortir un nouveau
titre, intitulé "Always" |
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Johnny Hallyday sortira, le 12 novembre, un
album de blues appelé Le cœur d'un homme, un projet qui lui tenait à
cœur, puisqu'il s'agit de son premier album studio chez Warner Music
France, sa nouvelle maison de disques, après son divorce d'avec
Universal, a annoncé l'artiste. Réalisé et produit par son arrangeur et
directeur musical Yvan Cassar, ce nouvel album a été écrit par d'anciens et de
nouveaux compagnons de route du chanteur dont Pierre Billon, Michel Mallory,
Jacques Veneruso, Lionel Florance, le romancier Marc Lévy, le comédien Bruno
Putzulu, Bernie Taupin, Francis Cabrel et Bono, le chanteur du groupe
U2. "Pendant 8 ans, Universal m'a refusé cet album en
m'expliquant que ce n'était pas assez commercial. C'est le phénomène des majors
du disque qui vous font chanter de la variété commerciale et vous font perdre
vos racines", a expliqué Johnny Hallyday, lors
d'une rencontre avec des journalistes. "Je parlais musique à Universal, ils
me répondaient chiffres. Warner, eux, me parlent musique. Je regrette rien,
aucun de mes albums et des chansons formidables", a-t-il ajouté, précisant
que sa nouvelle maison de disques lui donnait une "liberté totale qui fait
partie de (son) contrat". "Quand on fait une musique
avec son cœur, ça peut plus intéresser les gens que si c'est un disque de plus
comme on le fait d'habitude ", estime le chanteur qui a fêté son 64e
anniversaire en juin. Pour Johnny, la plus grande difficulté de cet album de
blues, enregistré à Los Angeles et mixé par Bob Clearmountain (Bowie, les
Stones, Bruce Springsteen...), "a été de le faire sans avoir l'air de
repartir cinquante ans en arrière". http://tf1.lci.fr/infos/people/0,,3611978,00-johnny-hallyday-premier-album-chez-warner-.html
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Johnny Hallyday : Sept a huit |
Postée le 04/11/2007
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Les confessions de Johnny ce soir dans Sept à huit
A la une • Le 04/11/2007 par Gilles
Boussaingault
À l'occasion de la sortie du nouvel album de Johnny Hallyday, «Le Coeur d'un
homme», Thierry Demaizière a rencontré la star dans sa maison de Los Angeles
pour «Sept à huit». Johnny se confie sur la mort de sa mère, son goût de la
solitude et sa vie à l'étranger. Portrait d'un homme au blues éternel.À travers les extraits de son album, que vous diffusez sur vos images, et
la Johnny Hallyday : sincérité avec laquelle Il se dévoile, on ressent
véritablement le blues et la nostalgie qui s'attachent à son
personnage... R: En effet. Johnny m'a parlé de sa mère, de l'absence de
son père et du regard qu'il porte sur la vie. Notamment sur la lutte qu'on mène
tous, chaque jour, pour vivre. Elle ne rend pas l'existence si belle que ça,
selon lui.
Comment vous a-t-il reçu? J'ai passé une journée entière avec lui.
Nous l'avons filmé dans sa villa de Bel-Air, le quartier chic de Los Angeles. À
l'intérieur, les tapis sont façon zèbre et les colonnes sont recouvertes de peau
de crocodile. Puis nous avons tourné dans Los Angeles, quand il roule en
voiture. Nous sommes allés aussi commander un hamburger dans un restaurant.
C'était très simple et je crois que les téléspectateurs vont découvrir des
images inhabituelles de Johnny. Il est seul, il profite de sa tranquillité pour
être Jean-Philippe Smet, tout simplement. Comme il le dit, il a sans cesse été
entouré d'une foule de gens depuis qu'il a commencé le métier, à l'âge de 15
ans.
On le voit rouler dans un magnifique cabriolet Bentley, sa maison est
immense... Qu'en est-il des rumeurs qui l'avaient dit ruiné par le fisc ou les
maisons de disques? Ce n'est pas du tout le cas. Il a fallu amener
doucement le sujet de ses impôts et de sa vie à l'étranger, car il n'aime pas
parler de ça. Il révèle qu'au cours de sa carrière il a versé à l'État près d'un
milliard d'euros en impôts. Mais il se demande aussi pourquoi on n'interroge
jamais Zidane, qui vit également à l'étranger. http://www.tvmag.com/article/Magazine/34234/Les_confessions_de_Johnny_ce_soir_dans_Sept_a_huit.html
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Johnny Hallyday : La tournée
2009 ! |
Postée le 02/11/2007
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Johnny Hallyday : La tournée
2009 !
En plus de revenir sur le devant de la scène
avec un nouvel opus, Johnny Hallyday
annonce une nouvelle grande tournée prévue en 2009 ! Mis en place le 12
novembre à 350 000 exemplaires dans cinq éditions différentes, Le Cœur d’un
homme marque un certain retour au blues pour le chanteur. Enregistré aux
studios Ocean de Los Angeles, il a été réalisé par Yvan Cassar et compte
notamment les participations du romancier Marc Levy, de l’acteur Bruno Putzulu
et de Bono. Après une campagne d’affichage 4x3 lancée à Paris la semaine
précédent sa sortie, le disque bénéficiera de l’éclairage de spots
publicitaires diffusés sur les antennes de TF1 et RTL. Sur la Toile, une
opération a été mise en place avec Lepost.fr, site édité par Le monde,
ciblant les jeunes internautes. Le 12 novembre, le site sera habillé aux
couleurs du chanteur et une interview exclusive sera mise en ligne. Disponible
depuis le 5 novembre, Always, le premier single, a déjà atteint le Top 10 de nombreuses radios adultes. En
presse, Johnny a accordé des interviews à plusieurs magazines tels Paris-Match, Le Figaro Magazine, Le Nouvel Obs et Télé 7 Jours. Il sera sur les plateaux de 7 à 8
le 11 novembre, du Grand Journal le 12 et de la Star Academy le 17. Par
ailleurs, Taratata et Le Meilleur de… lui
consacreront deux émissions spéciales diffusées début décembre. Enfin, les
fans pourront retrouver leur idole en concert en 2009. Son label donnera de plus
amples informations sur cet événement très prochainement.
http://musique.evous.fr/Johnny-Hallyday-La-tournee-2009,2529.html
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Johnny Hallyday : « Ardisson ? Un sale con ! » |
Postée le 01/11/2007
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Johnny Hallyday : « Ardisson ? Un sale con ! »
Le
magazine Télé 7 Jours fera lundi sa une avec une interview de Johnny Hallyday à
l'occasion de la sortie du nouvel album de l'artiste intitulé « Le Cœur d'un
homme ».
Au cours de l'entretien, Johnny Hallyday accepte de se livrer
au petit jeu du "J'aime / J'aime pas les animateurs de télé"… Extraits :
Nagui : « Égal à lui-même. Il aime la musique et c'est pour cela que je
l'apprécie » Arthur : « L'ami de toujours » Drucker : « C'est un homme
qui aime les artistes » Nikos : « Formidable » Foucault : « Adorable »
Ardisson : « Un sale con » Sabatier : « Je l'aime beaucoup » Fogiel
: « Je m'en méfie »
« Star Ac' c'est formidable »
Dans
l'interview, Johnny Hallyday revient également sur la Star Academy, taclant au
passage Michel Sardou et Philippe Manœuvre. « Star Ac' c'est formidable et
Nouvelle Star a révélé beaucoup de talents, comme Julien Doré. Contrairement à
ce qu'a pu dire Sardou ("Moi je ne connais pas !"), moi je le connais ! J'étais
pourtant à Los Angeles et lui en France : c'est vraiment qu'il ne regarde jamais
la télé ! Mais je ne juge pas… J'aime aussi beaucoup Star Academy qui nous a
permis de découvrir Jenifer, Nolwenn… Ce que je trouve moins bien, c'est
l'attitude du journal Rock & Folk : ils ont annulé un article prévu sur moi
en disant : "Il chante à Star Academy, nos lecteurs ne l'accepteront pas." Et je
vois aujourd'hui que Manœuvre fait partie du jury de Nouvelle Star ! On se fout
de la gueule de qui là ? »
http://www.imedias.biz/television/actualite-johnny-hallyday-ardisson-un-sale-con-14173.php
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